« Nos enfants » à Al-Kharga et Boulaq Al-Wadi (1)

Le destin a voulu que je n'assiste pas au premier jour du convoi « Nos enfants » à l'oasis d'Al-Kharga en raison de circonstances d'extrême urgence. Mais, dès que j'ai pu, je me suis lancé en vue de les rejoindre à temps. La route n'était pas courte, il s'agit de plus de 700 km, mais je n'ai pas ressenti le trajet. Je ne sais pas pourquoi le trajet ne m'a pas influencé. Il faut reconnaître que tout allait dans le bon sens et que c'est peut-être la raison. Le convoi n'a fait face à aucun problème. Mon cher ami et collègue Salah Hassan, directeur du Palais de la Culture de la Nouvelle-Vallée a chaleureusement reçu les collègues. Les responsables du gouvernorat ont été très coopérants envers les membres du convoi en application des directives du gouverneur de la Nouvelle-Vallée, le général Mohamed Al-Zamalout.

Les travaux du premier jour se sont lancés le dimanche matin avec beaucoup de joie et d'enthousiasme au Centre de découverte des sciences d’Al-Kharga et en collaboration avec le gouvernorat, l'antenne du Palais de la Culture de la Nouvelle-Vallée à la province du centre de la Haute-Egypte, relevant de l'Organisme général des Palais de la Culture. L'inauguration s'est déroulée en présence des représentants des ministères de la Jeunesse et des Sports, de l’Education et de l'Enseignement, ainsi que de Mme Azhar Saad vice-gouverneur de la Nouvelle-Vallée chargée des affaires de la famille, de la maternité et des personnes handicapées.

Le premier jour a été marqué par la présence d'un grand nombre d'écoliers au point que la salle de théâtre était comble. Et, le spectacle de marionnettes « L'éléphant révolté » produit par le Centre national de l'enfant a commencé.

Les marionnettes étaient incarnées par les artistes Ahmed Gaber, Mayssara Khaïry, Moustafa Ahmed, scénario de Walid Kamal, musique de Waël Awwad, et mise en scène d’Ahmed Ismaïl Abdel Baki.

(A suivre)